Il est des soirs d’été où le Château de Lunéville renoue avec ses prestiges d’antan.  Des nuits aux chapes étincelantes qui viennent ensorceler les murs de la terrasse, y faisant sourcer les réminiscences d’un passé que d’aucuns pensaient à jamais disparues. Les pierres pivotent et se bousculent alors, donnant naissance à d’incroyables mirages optiques, à des séismes visuels saisissants où le Rocher aux Automates de Stanislas renaît fabuleusement à la vie : des dizaines de personnages, comme au temps du Duc, réinventent ici, au gré d’ingénieux mécanismes, des scènes de vie empreintes de poésie, de nostalgie… 
 
Une création à la geste audacieuse, où les technologies d’avant-garde servent le propos d’un concept inédit :  premier chapitre d’un spectacle appelant également à deux nuits exceptionnelles des 30 et 31 Août, où l’espace scénique sera investi par plus de 100 figurants en costumes, des chevaux aux robes de lumière, des danses aériennes et de somptueux effets spéciaux.

Lauréat à cinq reprises du Trophée des Lumières de Lyon, créateur de nombreux spectacles à l'international (à l'exemple de Bogota pour l'ouverture de l'Année France -Colombie, de l'Exposition Universelle de Shangaï, Théâtre du Bolchoï à Moscou, Jérusalem, Quito, Bucarest avec le plus grand mapping d'Europe, …), l'artiste est aussi un familier de sa région natale (avec le spectacle monumental Jeanne d'Arc à Domremy, la Fête des Images à Epinal, …). À ce jour, près de 12 millions de personnes ont assisté à ses réalisations.